Vous êtes de nature curieuse et adorez les anecdotes aussi frissonnantes soient-elles ? N'attendez plus, inscrivez-vous ! Accompagné par l'un de nos guides professionnels, menez l'enquête et arpentez les rues et ruelles de la Presqu’île sur les pas des grandes affaires criminelles de Lyon. 

Du supposé empoisonnement de François-Dauphin (connaissez-vous la rue qui porte son nom ?) sur ordre de Charles Quint, à la torture et l'exécution de son soi-disant assassin Montecucculli (sans doute peu recommandable somme toute), rue Grenette, Lyon est marquée par la criminalité et les événements tragiques du genre. 

Amateur de polar vous voilà servi... C'est parti !

Cette dalle rouge sur le sol, face au 21 rue de la République, l'avez-vous déjà remarquée ? Elle symbolise l'endroit-même où le Président Sadi Carnot a été poignardé par l'anarchiste italien Santo Caserio en juin 1894.

Dès les années 1970, Lyon est surnommée "Chicago-sur-Rhône", et le Gang des Lyonnais sévit en bande organisée dans la région lyonnaise. Entre enlèvements et disparitions (comme dans les affaires Mérieux et Marin-Laflèche, non élucidées encore à ce jour), fréquentez quelques grandes figures judiciaires, comme Edmond Locard, à qui on doit le premier laboratoire de police scientifique, et fondateur de la criminalistique ; ou encore le Juge Renaud, assassiné par balles dans la nuit du 3 juillet 1975, le commissaire Charles Javilliey, qui avait créé un groupe "pénétration du milieu" au sein du groupe de répression du banditisme (GRB), et bien sûr, revenez sur le destin brisé de Michel Neyret, numéro 2 de la PJ de Lyon jusqu'en 2011.

Dans les années 80, Lyon est le siège d'une branche d'Action Directe et c'est Max Frérot, alors artificier de la branche lyonnaise d'AD et auteur de braquages violents, qui est traqué par la BRI de Neyret...

Crimes et faits divers et Flics et voyous, deux visites guidées pour les amateurs de thriller, permettent d'évoquer aussi bien les anciennes affaires lyonnaises que l'actualité du crime organisé. Ces visites permettent également de rendre justice à ces figures de policiers et magistrats aux destins brisés...

Visites sur réservation obligatoire, incluses dans la Lyon City Card et déconseillées aux enfants de moins de 12 ans.